Le village de Fontenaille

Le village de Fontenaille est déjà cité dans une charte en 896. Il est fait mention de la Chapelle Saint-Jacques de style roman en 1130. Reconstruite en 1700, elle a été restaurée après la dernière guerre. A l’extérieur, se trouvent des fonts baptismaux qui datent certainement de la chapelle précédente. La statue la plus ancienne est celle de Sainte-Apolline invoquée contre les maux de dents. (Source : Maison du tourisme d’Houffalize-La Roche).

Le village de Fontenaille

Le village de Fontenaille est déjà cité dans une charte en 896. Il est fait mention de la Chapelle Saint-Jacques de style roman en 1130. Reconstruite en 1700, elle a été restaurée après la dernière guerre. A l’extérieur, se trouvent des fonts baptismaux qui datent certainement de la chapelle précédente. La statue la plus ancienne est celle de Sainte-Apolline invoquée contre les maux de dents. (Source : Maison du tourisme d’Houffalize-La Roche).

Le village de Sommerain

La construction de la Maison Deroite remonte à 1735. L’église Saint-Etienne citée en 1245 dans une bulle pontificale a été remplacée par l’édifice actuel en 1888. En empruntant le vieux chemin de Houffalize jusqu’à l’orée du bois, se trouve l’un des plus beaux édifices religieux de l’arrondissement, la Chapelle de Forêt. Elle est située en bordure du vieux chemin reliant Houffalize à Sommerain, à l’orée du bois appelé «Forêt». Elle est le terme d’un pèlerinage. La première mention de cette chapelle est retrouvée dans le testament de Jean Thieskin, daté du 25 mars 1656. Il lègue la somme de 50 florins, si l’on construit une chapelle en l’honneur de Notre Dame au bois de Forêt. Si la chapelle actuelle date de +/- 1750, reconstruite par frère Fule Bechoux (religieux au prieuré de Houffalize et curé de Taverneux) la construction du premier oratoire peut remonter à une époque antérieure à 1656. L’architecte réussit à lui donner un caractère mosan prononcé par le toit galbé et les bulbes qui ne sont pas sans rappeler la collégiale de Dinant, ou l’hôtel de ville de Visé. Le sanctuaire est couvert d’ardoises formant des dessins et constitue un joyau du XVIIIème siècle unique dans la province. (classé en 1975).
L’autel date de 1766, les lambris furent placés après 1768, les cinq tableaux à une date inconnue, le grillage en fer en 1879.
Une restauration en 1993 lui a rendu sa splendeur d’antan, notamment par un remarquable travail de l’ardoise. La chapelle de forêt est de plan hexagonal précédée d’un porche occidental et présentant un décrochement oriental tenant lieu d’abside.
A la différence des édifices développés en longueur (plan basilical) celle-ci a un plan centré, les diverses parties s’ordonnant avec des dimensions égales à partir d’un centre. C’est une façon de concevoir l’architecture religieuse qui a d’illustres exemples dans le Saint-Sépulcre de Jérusalem, Ste Sophie de Constantinople, la chapelle carolingienne d’Aix-la-Chapelle et dans le style baroque, N. D. de Montaigu.
(Source : Maison du tourisme d’Houffalize-La Roche)

Le village de Sommerain

La construction de la Maison Deroite remonte à 1735. L’église Saint-Etienne citée en 1245 dans une bulle pontificale a été remplacée par l’édifice actuel en 1888. En empruntant le vieux chemin de Houffalize jusqu’à l’orée du bois, se trouve l’un des plus beaux édifices religieux de l’arrondissement, la Chapelle de Forêt. Elle est située en bordure du vieux chemin reliant Houffalize à Sommerain, à l’orée du bois appelé «Forêt». Elle est le terme d’un pèlerinage. La première mention de cette chapelle est retrouvée dans le testament de Jean Thieskin, daté du 25 mars 1656. Il lègue la somme de 50 florins, si l’on construit une chapelle en l’honneur de Notre Dame au bois de Forêt. Si la chapelle actuelle date de +/- 1750, reconstruite par frère Fule Bechoux (religieux au prieuré de Houffalize et curé de Taverneux) la construction du premier oratoire peut remonter à une époque antérieure à 1656. L’architecte réussit à lui donner un caractère mosan prononcé par le toit galbé et les bulbes qui ne sont pas sans rappeler la collégiale de Dinant, ou l’hôtel de ville de Visé. Le sanctuaire est couvert d’ardoises formant des dessins et constitue un joyau du XVIIIème siècle unique dans la province. (classé en 1975).
L’autel date de 1766, les lambris furent placés après 1768, les cinq tableaux à une date inconnue, le grillage en fer en 1879.
Une restauration en 1993 lui a rendu sa splendeur d’antan, notamment par un remarquable travail de l’ardoise. La chapelle de forêt est de plan hexagonal précédée d’un porche occidental et présentant un décrochement oriental tenant lieu d’abside.
A la différence des édifices développés en longueur (plan basilical) celle-ci a un plan centré, les diverses parties s’ordonnant avec des dimensions égales à partir d’un centre. C’est une façon de concevoir l’architecture religieuse qui a d’illustres exemples dans le Saint-Sépulcre de Jérusalem, Ste Sophie de Constantinople, la chapelle carolingienne d’Aix-la-Chapelle et dans le style baroque, N. D. de Montaigu.
(Source : Maison du tourisme d’Houffalize-La Roche)

Les hameaux de Grande et Petite-Mormont

Jolis petits villages ardennais. Point de départ idéal sur le tracé GR pour des promenades à pied, en VTT ou à cheval vers la vallée de l’Ourthe, Nadrin, Filly ou vers Achouffe. Présence de chambres et de maisons d’hôtes dont le gite d’étape du CBTJ.

Le village de Wandebourcy

Au bord du ruisseau se situait l’ancien Franc moulin de Boeur totalement disparu aujourd’hui, il est cité dans un document de 1624. Le ruisseau est modeste, mais les larves et les éventuelles lamproies qui le peuplent attestent sa salubrité. (Source : Maison du tourisme d’Houffalize-La Roche).

Le village de Wandebourcy

Au bord du ruisseau se situait l’ancien Franc moulin de Boeur totalement disparu aujourd’hui, il est cité dans un document de 1624. Le ruisseau est modeste, mais les larves et les éventuelles lamproies qui le peuplent attestent sa salubrité. (Source : Maison du tourisme d’Houffalize-La Roche).

Le village de Cowan

Ancien siège de la paroisse de Houffalize, on peut encore observer le vieux cimetière où subsistent quelques croix et pierres tombales des XVIIème et XVIIIème. La ferme Meinguet, exemple typique des fermes ardennaises.
(Source : Maison du tourisme d⤙Houffalize-La Roche).

Le village de Cowan

Ancien siège de la paroisse de Houffalize, on peut encore observer le vieux cimetière où subsistent quelques croix et pierres tombales des XVIIème et XVIIIème. La ferme Meinguet, exemple typique des fermes ardennaises.
(Source : Maison du tourisme d⤙Houffalize-La Roche).

Le village de Cetturu

Village de l’ancienne commune de Tavigny, Cetturu nous présente l’aspect d’un vieux village aux constructions typiquement ardennaises. L’église Saint-Sébastien de style néo-gothique, reconstruite en 1862, participe par sa situation et son volume au pittoresque du village. Ses fonts baptismaux sont faits d’une simple cuve en arkose probablement d’époque romane provenant de l’ancien sanctuaire du Mont Saint Martin.
En quittant le village, il est possible que haut dans le ciel, sans calcul d’énergie, la buse variable joue avec les courants aériens. Elle plane circulairement et de son regard inspecte les prés. Fidèle à notre région, la buse sait, au terme de l’hiver, apprécier l’éveil de la nature. A ce moment, son vol nerveux pour une âpre recherche de nourriture se libère à un vol long et harmonieux.
(Source texte : Maison du Tourisme du Pays d’Houffalize-La Roche-en-Ardenne).